Côté obscur: Larme

La majorité des décès sont causés manuellement, soit en frappant ou battre avec les mains, secouer, lancer, laisser tomber et - moins souvent - par brûlure ou suffocation. C'est exceptionnel que la mort soit causée par l'impact d'un objet contondant instrument, bien que des ecchymoses non mortelles dues aux coups avec un une sangle, par exemple, est parfois vue. Tir, étranglement et les coups de couteau sont caractéristiques de l'homicide classique, qui est distinct du syndrome de maltraitance des enfants. Le mode de décès le plus courant est le traumatisme crânien. Suivant dans la fréquence est la rupture d'un viscère abdominal, laissant un large gamme de blessures diverses pour tenir compte du petit reste. En se concentrant sur les résultats de l'autopsie, les différents types de le traumatisme sera décrit ; même si beaucoup ne le feront pas d'eux-mêmes ont causé ou même contribué à la mort. Leur la reconnaissance n'en est pas moins indispensable car, à l'issue de l'examen, ils pourraient bien être les facteurs décisifs qui peuvent distinguer un accident résultant de mauvais traitements délibérés.

 

Brossures autour des membres, en particulier du poignet et avant-bras, bras, cuisses et - chez les petits nourrissons - autour des chevilles. Ces endroits forment des « poignées » pratiques pour qu'un adulte attrape l'enfant. Chez le petit nourrisson, le des ecchymoses au bas de la jambe peuvent indiquer que l'enfant a été tenu par la jambe ou la cheville pour le balancer - et peut être associés à des blessures à la tête. L'enfant plus âgé, en tant qu'adulte, peut être saisi par le haut des bras pour être secoué.

 

Les fesses sont un site fréquent d'ecchymoses aux mains des claquements ou des coups avec une sangle. Les ecchymoses sur la cuisse sont moins courant, mais sur le côté extérieur peut signifier des gifles et sur les interférences sexuelles intérieures possibles.

Le visage est souvent meurtri, notamment les joues et zone de la bouche, des gifles, qui peuvent également être présentes sur le front et les oreilles. Dommages associés à la bouche et les yeux sont communs. Les ecchymoses sur le cuir chevelu sont plus difficiles à voir à cause des cheveux, mais fait souvent partie de la tête plus profonde blessure.

 

Les ecchymoses sur la poitrine, l'abdomen et le cou sont généralement par la pression des doigts plutôt que par des gifles ou des coups. Ceux sur l'abdomen et le bas de la poitrine peuvent être associés à blessure viscérale profonde. Les ecchymoses peuvent être de n'importe quelle taille ou type, mais une variété courante dans la maltraitance des enfants est le petit disque lésion d'environ 1 à 2 cm de diamètre ; on les appelait autrefois « des bleus de six sous » à cause de la taille de la monnaie de l'époque. Celles-ci sont causées par un impact ou une pression exercée par les doigts. d'adultes, et peut être vu en groupes autour du membres et sur le cou, la poitrine ou l'abdomen.

 

Les ecchymoses causées par les gifles ou les coups de poing peuvent être plus importantes et irrégulier. Parfois, une partie ou même presque la totalité L'empreinte de la main peut être visible sous forme de contusions sur les fesses ou le tronc. Bien qu'il soit impossible d'être précis sur l'absolu l'âge d'une ecchymose, celles de couleurs nettement différentes ne peuvent pas ont été infligés au cours du même épisode. L'interprétation Les motifs et le vieillissement des ecchymoses sont plus pleinement pris en compte, mais toute ecchymose présentant une coloration jaune cela doit remonter à plus de 18 heures depuis l'infliction.

Acknowledgements:

www.politie.nl  Politiekorpschef  @Janny Knol©

www.aived.nl    AIVD – @Erik Akerboom ©

www.politie.nl WEB Politie - @Henk van Essen©

https://www.police-nationale.interieur.gouv.fr/ @ Stephane Folcher ©

 

Bibliography:

1.    Criminal Investigations – Crime Scene Investigation.2000

2.    Forensic Science.2006

3.    Techniques of Crime Scene Investigation.2012

4.    Forensics Pathology.2001

5.    Pathology.2005

6.    Forensic DNA Technology (Lewis Publishers,New York, 1991).

7.    The Examination and Typing of Bloodstains in the Crime Laboratory (U.S. Department of Justice, Washington, D.C., 1971).

8.    „A Short History of the Polymerase Chain Reaction". PCR Protocols. Methods in Molecular Biology.

9.    Molecular Cloning: A Laboratory Manual (3rd ed.). Cold Spring Harbor,N.Y.: Cold Spring Harbor Laboratory Press.2001

10.   "Antibodies as Thermolabile Switches: High Temperature Triggering for the Polymerase Chain Reaction". Bio/Technology.1994

11.   Forensic Science Handbook, vol. III (Regents/Prentice Hall, Englewood Cliffs, NJ, 1993).

12.   "Thermostable DNA Polymerases for a Wide Spectrum of Applications: Comparison of a Robust Hybrid TopoTaq to other enzymes". In Kieleczawa J. DNA Sequencing II: Optimizing Preparation and Cleanup. Jones and Bartlett. 2006

13.   Nielsen B, et al., Acute and adaptive responses in humans to exercise in a warm, humid environment, Eur J Physiol 1997

14.   Molnar GW, Survival of hypothermia by men immersed in the ocean. JAMA 1946

15.   Paton BC, Accidental hypothermia. Pharmacol Ther 1983

16.   Simpson K, Exposure to cold-starvation and neglect, in Simpson K (Ed): Modem Trends in Forensic Medicine. St Louis, MO, Mosby Co, 1953.

17.   Fitzgerald FT, Hypoglycemia and accidental hypothermia in an alcoholic population. West J Med 1980

18.   Stoner HB et al., Metabolic aspects of hypothermia in the elderly. Clin Sci 1980

19.   MacGregor DC et al., The effects of ether, ethanol, propanol and butanol on tolerance to deep hypothermia. Dis Chest 1966

20.   Cooper KE, Hunter AR, and Keatinge WR, Accidental hypothermia. Int Anesthesia Clin 1964

21.   Keatinge WR. The effects of subcutaneous fat and of previous exposure to cold on the body temperature, peripheral blood flow and metabolic rate of men in cold water. J Physiol 1960

22.   Sloan REG and Keatinge WR, Cooling rates of young people swimming in cold water. J Appl Physiol 1973

23.   Keatinge WR, Role of cold and immersion accidents. In Adam JM (Ed) Hypothermia – Ashore and Afloat. 1981, Chapter 4, Aberdeen Univ. Press, GB.

24.   Keatinge WR and Evans M, The respiratory and cardiovascular responses to immersion in cold and warm water. QJ Exp Physiol 1961

25.   Keatinge WR and Nadel JA, Immediate respiratory response to sudden cooling of the skin. J Appl Physiol 1965

26.   Golden F. St C. and Hurvey GR, The “After Drop” and death after rescue from immersion in cold water. In Adam JM (Ed). Hypothermia – Ashore and Afloat, Chapter 5, Aberdeen Univ. Press, GB 1981.

27.   Burton AC and Bazett HC, Study of average temperature of tissue, of exchange of heat and vasomotor responses in man by means of bath coloremeter. Am J Physiol 1936

28.   Adam JM, Cold Weather: Its characteristics, dangers and assessment, In Adam JM (Ed).Hypothermia – Ashore and Afloat, Aberdeen Univ. Press, GB1981.

29.   Modell JH and Davis JH, Electrolyte changes in human drowning victims.Anesthesiology 1969

30.   Bolte RG, et al., The use of extracorporeal rewarming in a child submerged for 66 minutes. JAMA 1988

31.   Ornato JP, The resuscitation of near-drowning victims. JAMA 1986

32.   Conn AW and Barker CA: Fresh water drowning and near-drowning — An update.1984;

33.   Reh H, On the early postmortem course of “washerwoman’s skin at the fingertips.” Z Rechtsmed 1984;

34.   Gonzales TA, Vance M, Helpern M, Legal Medicine and Toxicology. New York, Appleton-Century Co, 1937.

35.   Peabody AJ, Diatoms and drowning – A review, Med Sci Law 1980

36.   Foged N, Diatoms and drowning — Once more.Forens Sci Int 1983

37.   "Microscale chaotic advection enables robust convective DNA replication.". Analytical Chemistry. 2013

38.   Sourcebook in Forensic Serology, Immunology, and Biochemistry (U.S. Department of Justice, National Institute of Justice, Washington, D.C.,1983).

39.   C. A. Villee et al., Biology (Saunders College Publishing, Philadelphia, 2nd ed.,1989).

40.   Molecular Biology of the Gene (Benjamin/Cummings Publishing Company, Menlo Park, CA, 4th ed., 1987).

41.   Molecular Evolutionary Genetics (Plenum Press, New York,1985).

42.   Human Physiology. An Integrate. 2016

43.   Dumas JL and Walker N, Bilateral scapular fractures secondary to electrical shock. Arch. Orthopaed & Trauma Surg, 1992; 111(5)

44.   Stueland DT, et al., Bilateral humeral fractures from electrically induced muscular spasm. J. of Emerg. Med. 1989

45.   Shaheen MA and Sabet NA, Bilateral simultaneous fracture of the femoral neck following electrical shock. Injury. 1984

46.   Rajam KH, et al., Fracture of vertebral bodies caused by accidental electric shock. J. Indian Med Assoc. 1976

47.   Wright RK, Broisz HG, and Shuman M, The investigation of electrical injuries and deaths. Presented at the meeting of the American Academy of Forensic Science, Reno, NV, February 2000.